Mercedes Classe B « F-Cell » : pile à combustible + batteries

A l’inverse de son homologue germanique BMW (voiture citadine électrique avec la Mini-E), Le fabricant d'automobiles Mercedes-Benz a choisi la technologie hybride pile à combustible / batteries pour équiper son modèle urbain « Classe B – F-Cell ». La production de série de ce véhicule a officiellement commencée.

Cette nouvelle Classe B « F-Cell » offrirait un rendement similaire à celui d'un moteur à essence, et consommerait l'équivalent de 3,3 litres de diesel aux 100 kilomètres. Le moteur électrique de 100kW (soit 136ch) possède un couple maximal de 290Nm et est alimenté par une batterie lithium-ion d'une puissance de 35kW (capacité de 1,4kWh) capable de récupérer l'énergie au freinage. L'autonomie annoncée atteint les 400km pour un temps de ravitaillement d'environ 3 minutes. La vitesse maximale est de 170km/h.

Des réseaux de distribution d'hydrogène existent déjà en Allemagne et en Norvège, mais malheureusement pas (encore ?) pour les autres pays européens.

BMW Mini E : une « Mini » électrique en 2010 en France

Le constructeur automobile allemand BMW va expérimenter en France, après les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et l'Allemagne, 40 prototypes de Mini E électrique à partir de juin 2010.

La Mini E, construite à 612 exemplaires pour mener la campagne d’essais en conditions réelles est équipée d'un moteur électrique de 204ch (soit 150kW), alimenté par une batterie lithium-ion. Elle offre en outre une autonomie de près de 240 kilomètres.

BMW espère que ces tests pourront contribuer à la définition de leur future voiture électrique citadine qui pourrait être commercialisée en 2012.

Le bois énergie : une énergie renouvelable en plein essor

En recouvrant environ un tiers de notre territoire français, la biomasse forestière (bois non traité) reste avec l'hydroélectricité une source d'énergie renouvelable, suscitant l'intérêt du grand public en permettant la production de chaleur et d’électricité à un coût réduit.

Bien que le potentiel de l’énergie bois reste encore sous-exploitée aujourd'hui, la combustion du bois contribue très peu à l'émission des gaz à effet de serre (GES), soit 7 à 12 fois moins que d'autres combustibles de la filière fioul ou gaz naturel. Les rejets en Dioxyde de Carbone (CO2), sont absorbés par les arbres de nos forêts afin de développer leur croissance. De plus, en contenant qu’une infime quantité de soufre, le bois reste une énergie renouvelable propre.

En effet pour une même quantité d'énergie produite, le bois diffuse entre 12 à 15 fois moins de GES que le charbon, puis de 2 à 4 fois moins de GES que l'électricité. C’est pourquoi, dans une démarche de développement durable, l'Union Européenne fait du bois une priorité pour 2010, permettant ainsi d'accéder à l'indépendance énergétique.

Malheureusement, les lobbyings anti-bois (par exemple les pro-élec, vendant exclusivement de la pompe à chaleur et voyant d’un très mauvais œil l’essor du granulé bois) sont encore très présents sur le terrain pour distiller désinformation auprès du grand public : coupe des arbres pour faire des granulés, approvisionnement difficile en pellets, énergie dépensée pour fabriquer les pellets, dangerosités des particules fines, … :

• Or si nous valorisions uniquement les déchets de coupe (qui pourrissent au sol et émettent aussi du CO2 pour rien), nous pourrions alimenter près de 10 millions de chaudières automatiques à granulés bois en France ; Les pellets sont issus aujourd’hui uniquement de la sciure, sans aucun additif.
• Il se monte chaque mois en moyenne 2 distributeurs et/ou producteurs de pellets en France ; Certains distributeurs de fioul se mettent aussi à transformer certains de leurs camions et à distribuer des granulés ; On peut acheter des granulés un peu partout en GSB (bricolage, jardinerie,…) et même sur Internet ; Quelle énergie (à part le solaire) peut se vanter d’avoir une telle indépendance, sans « major company » derrière !
• L’énergie dépensée pour fabriquer les pellets n’est sans comparaison par rapport à celle nécessaire et gargantuesque pour extraire, transformer, et transporter gaz ou autres hydrocarbures.
• Enfin, si on choisit un poêle ou une chaudière bois de qualité (certes avec un investissement plus important), il n’y a aucun risque de particules fines comme avec les chaudières du leader autrichien du marché européen OkoFEN, ou des poêles de fabricants de renom comme Edilkamin, Palazzetti, ou encore RiKa …

ACOVA Cala +Air : sèche-serviette avec un soufflant invisible

Finis l'image de nos vieux sèche-serviettes bruyant et parfois peu efficace dans nos salles de bains ! Le fabriquant ACOVA fait place à la nouveauté en élargissant sa gamme de radiateurs sèche-serviettes aux tubes ronds horizontaux, en associant le design à la performance, afin que le radiateur devienne créatif, tout en s’adaptant à nos projets d’agencements.

En effet, le radiateur « Cala +Air », décliné en 5 modèle (de 402 à 1000W), est le seul radiateur sèche-serviettes chromé du marché proposant la fonction « soufflant » (+ 1000W). Ce principe assure chaleur et confort tout au long de l’année, même si la chaudière n’est pas en fonctionnement ! Le soufflant silencieux (process « +Air » par turbine) fixé au dos du radiateur le rendent discret, et imperceptible à l’oeil une fois installé grâce à son habillage dans la couleur de l’appareil choisit.

Associant les fonctions de chauffage et de séchage quel que soit le type d’installation (électrique ou chauffage central), Cala +Air offre un chauffage à la carte. Le soufflant apporte à la demande, une chaleur instantanée. En électrique, Cala +Air fonctionne au choix en radiateur seul, radiateur + soufflant, ou en soufflant seul. Pour les installations de chauffage central, le soufflant de Cala +Air peut être mis en marche à tout moment pour plus de confort (quand la chaudière est arrêtée).

Enfin, ACOVA propose un nuancier de 54 teintes en plus de la finition chromée, en version chauffage central et /ou électrique, ainsi que des accessoires permettant la personnalisation du radiateur.

Plus d'info : www.acova.fr

Cheminée décorative électrique : Du feu sans fumée !

Une cheminée sans feu, sans odeur, et sans fumée, impossible ? Si, c’est le principe des cheminées électriques décoratives. Elles sont équipées d’un système de lampes qui créent des flammes artificielles, avec des effets de feu en 3D ultra réalistes.

L’effet 3D permet l’illumination du foyer et la « création » de flammes et de fumée, grâce à une association de vapeur d'eau ultrafine et d’un jeu de lumière. Le brassier est composé de bûches en plastiques peintes sous lesquelles sont disposées des LED pour donner l’impression d’un effet rougeoyant.

De différents styles et tailles, ces cheminées décoratives peuvent fonctionner avec un « vrai » chauffage par convection incorporé. Mais attention, alors qu’elles consomment déjà aux alentours des 150W d’électricité en mode décoratif, si vous enclenchez le chauffage, c’est alors 2000W qui sont délivrés. Ces cheminées sont donc plutôt à utiliser occasionnellement, en complément d’un système de chauffage performant et économique. A réserver par exemple pour quelques soirées romantiques au coin du (faux) feu !

Plus d’information : cheminée électrique décorative Glen Dimplex