Le premier prototype de l'Oyster, développé par la compagnie Aquamarine Power, doit être mis en service en mer pour la première fois cet été au Centre européen de l'énergie marine au large de l'archipel des Orcades dans le nord de l'Ecosse.
Cette centrale hydro-électrique, tirant partie de la houle marine, se compose d'un convertisseur de vagues (pompe à double piston). Elle est déployée au large des côtes à une profondeur d'environ 10 à 12 mètres. Les vagues par leur va-et-vient régulier vont activer la pompe, qui va fournir une eau sous haute pression au travers d'un tube sous-marin relié directement à la côte. Cette eau est ensuite convertie en électricité grâce à des turbines hydro-électriques conventionnelles. Selon l'emplacement et la configuration, le pic de puissance générée par chaque unité d'Oyster se situe entre 300 et 600kw.
Dévoilée au salon TED 2009, Forrest North a conçu la Mission One, la moto électrique la plus rapide du monde. Equipée de batteries au lithium, sa vitesse de pointe lui permet en effet d’atteindre les 240 km/h ! Pour un temps de recharge de 2h, son autonomie serait de 250 km.
Si vous êtes intéressés, dépêchez vous car cette belle cylindrée « verte » ne sera disponible qu’à 50 exemplaires début 2010, le tout pour la modique somme de 53 000 euros (un modèle plus abordable devrait être aussi commercialisé).
Riedel Recycling, une société spécialisée dans le traitement de matériaux de construction, possède sur l’un de ses bâtiments le plus grand toit photovoltaïque d’Allemagne.
En effet, l’installation, qui pourrait alimenter près de 700 foyers en électricité, est composée de plus de 11 000 cellules et fournit une puissance de plus de 800 KW. L’électricité produite est transformée en courant alternatif par quatre onduleurs, et comme rien ne se perd, les 45 kW d’énergie perdue sous forme de chaleur au cours de la transformation en courant alternatif, sont aussi récupérés pour chauffer les locaux administratifs de l’entreprise.
Le designer belge Gerkens a conçu un store vénitien d’un nouveau genre : il permet de stocker l’énergie solaire la journée et de la restituer en électricité la nuit, en la transférant à des feuilles électroluminescentes qui fourniront un éclairage d’ambiance.
Ainsi, plutôt que de servir à bloquer « bêtement » les rayons du soleil, ce store vénitien dénommé « Blight » par ces concepteurs, pourrait révolutionner nos éclairages d’intérieurs. Une idée si simple qu’il fallait y penser … !
Des ralentisseurs d’un nouveau genre pourraient bientôt voir le jour sur nos routes. Les « dos d'ânes » classiques sont souvent considérés comme une calamité par les automobilistes. Mais les ralentisseurs « verts » de l’inventeur Peter Hughes pourraient nous faire changer notre façon de penser : ces bosses ralentisseurs, qui ne nuisent pas aux voitures, ont en effet l'avantage de produire de l'énergie gratuitement lorsqu’on roule dessus.
Les bosses de ces ralentisseurs peuvent produire chacune entre 1 à 4 euros d'énergie en une heure (16h/jour) soit près de 6 500 et 24 000 euros par an. En outre, l'énergie non utilisée pourrait être stockée ou intégrée au réseau électrique.