
Muni de trois roues, le véhicule tire une remorque recouverte de 6m² de panneaux solaires. Ceux-ci lui offrent 400 km d'autonomie sous le soleil et une vitesse de pointe de 90 km/h. Par temps couvert, ou de nuit, il peut encore parcourir 60 km grâce à sa batterie. Le véhicule n'est pas autonome pour autant car il faut parfois recourir au réseau électrique local pour fournir la moitié de l'énergie nécessaire au bouclage du tour du monde. Mais les émissions de CO2 nécessaire à la production de l’électricité ont été compensées par des panneaux solaires installés en Suisse, et le véhicule n'aura dans tous les cas utilisé aucune goutte de pétrole.
Ce défi humain et technologique a ainsi démontré à travers les médias du monde entier que l'énergie solaire est une option viable pour un transport plus propre.